Après un début de carrière (trop) fulgurant et des excès qui lui ont porté préjudice, Lady Gaga a su se poser pour mieux rebondir et retrouver une crédibilité artistique auprès du grand public. Cette année, c’est naturellement qu’elle passe l’étape du premier grand rôle au cinéma. Encore une fois, elle revêt un nouveau masque qui – je suis le premier à être surpris – lui sied à merveille !
Aujourd’hui, j’avais envie de vous parler brièvement d’un autre album que j’écoute beaucoup en ce moment : Dance Remixes de Mylène Farmer ! Le premier « best of » de la chanteuse, puisqu’il réunit ses premiers singles remixés sortis entre 1984 et 1992 !
Vous le savez : j’aime autant le cinéma que la musique. Je partage régulièrement mes impressions sur les dernières sorties sur grand écran, comme j’aime vous parler de ma collection de cassettes audio. Mais j’aime aussi délaisser la technologie — pas tout à fait, en vérité — pour me plonger dans un bon bouquin, dont le récit stimulera mon imagination. C’est donc avec ces mots que j’introduis ce billet « humeur » sur mon rapport à la lecture…
C’est un film qui a été conspué après sa séance de minuit à Cannes, puis à sa sortie en salles. On est alors en 2002. Soyez sûrs et certains que si Irréversible de Gaspar Noé sortait à l’heure actuelle, il diviserait toujours autant. Et le tribunal populaire de Twitter se ferait une joie de condamner son réalisateur de tous les crimes possibles. Moi aussi, j’ai descendu son film à cause de sa mauvaise réputation. Pourtant, lorsque j’écris ces mots, c’est pour vous dire que j’ai beaucoup aimé Irréversible.
Laissez-moi vous parler d’un autre album français que j’attendais beaucoup également : Corson de Corson ! D’habitude, je ne suis pas très chanteur (encore moins chanteur français), mais les derniers singles de Corson m’ont touché en plein cœur ! Il en est de même pour son deuxième opus, qui est un vrai coup de cœur !
Eh bien voilà : j’ai trouvé mon film de l’année 2018, loin devant le déjà très bon A Simple Favor (dont je vous parlais la semaine dernière). Ce film, c’est BlacKkKlansman de Spike Lee. Une œuvre cinématographique qui ne pouvait que frapper fort à l’heure actuelle. C’est que Spike Lee ne fait pas les choses à moitié !
J’avais essayé de lire cette parodie quand j’étais en Espagne (pas cet été, mais il y a huit ans !). Je m’y suis remis récemment, car j’avais trouvé assez sympathique (mais pas transcendant pour autant) The Hamburger Games. Résultat : sympathique, mais oubliable.
L’année dernière, j’ai outrepassé ma règle de vous dévoiler mes votes pour la cérémonie annuelle des NRJ Music Awards. J’y remédie ce mois-ci, aussi car j’avais envie de vous donner mon avis sur cette nouvelle édition (la vingtième d’ailleurs, quand on y pense). Et pour une fois, je trouve que les nominations sont logiques dans l’ensemble (mises à part deux-trois exceptions, mais rien de méchant). Sans plus attendre, rentrons dans le vif du sujet !
Comme vous le savez, je suis dans ma période Spice Girls en ce moment (avant de passer à Jenifer, vu qu’elle sort son album la semaine prochaine). J’en profite pour réécouter également la discographie de Geri Halliwell (qui a toujours été ma favorite des cinq filles).
En ce moment, je réécoute beaucoup les albums des Spice Girls (surtout les deux premiers, que j’ai d’ailleurs acheté en cassettes audio). Je n’avais pas été voir le film au cinéma à l’époque (il faut dire que j’avais honte de demander à un adulte de m’accompagner…). Le streaming étant en ce moment mon meilleur ami, je l’ai donc regardé !