
Bonjour tout le monde ! J’espère que vous allez bien et que vous terminez bien le mois de juin. Aujourd’hui, je reviens sur les quatre films que j’ai vus au mois de mai 2025. Bonne lecture !
Continuer la lectureBonjour tout le monde ! J’espère que vous allez bien et que vous terminez bien le mois de juin. Aujourd’hui, je reviens sur les quatre films que j’ai vus au mois de mai 2025. Bonne lecture !
Continuer la lectureJ’avais déjà mentionné ce film dans mes attentes pour 2018. Underwater ayant été tourné il y a trois ans (!), j’avais abandonné l’idée de le voir au cinéma un jour (voire même de le voir tout court). Finalement, Disney et la Fox ont décidé de le sortir de leurs cartons pour une sortie sur grand écran début janvier. Et vu le peu de promo et de considération accordées au long-métrage de William Eubank, son Underwater passera (malheureusement) inaperçu. Mais ce ne sera qu’un peu d’argent perdu pour Disney, vu tous les films de leurs studios qui verront le jour en 2020.
En 2019, j’ai vu neuf films français en tout. Parmi les neuf, peu m’ont vraiment marqué. Et après avoir regardé l’excellent Les Invisibles de Louis-Julien Petit, il était impossible qu’un autre long-métrage français fasse mieux que ce dernier. Eh bien, je me suis trompé : Éric Toledano et Olivier Nakache signent avec Hors Normes ce qui sera sans aucun doute le film français de 2019 (pour moi). En d’autres mots, rarement une comédie dramatique m’a autant fait passer du rire aux larmes en un clin d’œil, et ce plusieurs fois d’affilée.
J’ai travaillé sur un extrait de ce film durant un séminaire sur le SME (sous-titrage pour les sourds ou malentendants). On m’en parlait depuis des années, donc je me suis dit que je profiterai des vacances pour le regarder. C’est désormais chose faite et voici ce que j’en pense…
Continuer la lectureC’est un film qui a été conspué après sa séance de minuit à Cannes, puis à sa sortie en salles. On est alors en 2002. Soyez sûrs et certains que si Irréversible de Gaspar Noé sortait à l’heure actuelle, il diviserait toujours autant. Et le tribunal populaire de Twitter se ferait une joie de condamner son réalisateur de tous les crimes possibles. Moi aussi, j’ai descendu son film à cause de sa mauvaise réputation. Pourtant, lorsque j’écris ces mots, c’est pour vous dire que j’ai beaucoup aimé Irréversible.
Avant de vous parler de Juste la Fin du Monde, il faut que je vous dise un truc : je n’aime pas du tout Xavier Dolan en tant que personne. Je le trouve prétentieux et ses discours de vainqueur à Cannes étaient, pour moi, faussement larmoyants et pleins d’arrogance. Je partais donc avec un apriori en allant voir Juste la Fin du Monde. Qui est, je le précise, mon premier film du jeune réalisateur québécois. Eh bien, en dépit de mon aversion pour le personnage, j’ai été transporté par son œuvre.
Voici le film « sulfureux » de ce début d’été (avant la sortie de Love de Gaspar Noé), j’ai nommé Un Moment D’égarement ! Mais dans quel sens ?
Après les films d’animation (il reste cependant encore Tarzan et La Grande Aventure Légo), les blockbusters de l’hiver débarquent. Et on va s’intéresser au côté français du divertissement, puisque la nouvelle adaptation de La Belle et la Bête vient tout juste de sortir. Et je dois vous dire que j’ai été assez déçu par cette version-là, peut-être parce que j’en attendais beaucoup (trop ?).
Normalement, il me serait difficile de dire si j’ai aimé ou pas, dans la mesure où je n’ai pas tout compris à l’intrigue. Bon, je vous rassure, j’ai compris la fin, même si j’avoue que j’ai trouvé ça tiré par les cheveux.
Nina Sayers est une talentueuse danseuse étoile qui, comme toutes ses comparses, rêve d’incarner la reine des cygnes du célèbre ballet « Le Lac des Cygnes ». Selon Thomas Leroy, célèbre chorégraphe français à la réputation de tombeur, elle est parfaite pour le rôle du cygne blanc (douce, fragile, sensible, repliée sur elle-même), tandis que Lily (autre danseuse de la compagnie) a tout du cygne noir (vénéneuse, sensuelle, spontanée, parfois impudique). Leroy choisit pourtant Nina pour jouer le rôle principal, en la mettant toutefois en garde contre sa frigidité…