Aujourd’hui, je vous parle de ma dernière lecture en date (ça faisait un petit moment, quand même !), The Incredible Journey de Sheila Burnford (ou L’Incroyable Voyage en français). Si ce titre vous dit quelque chose, c’est sans doute car vous avez vu le même film du nom, produit par Disney et sorti dans les années 90. J’avais très envie de découvrir ce roman. Par contre, comme j’ai très peu de souvenirs du film, ce sera difficile de le comparer avec le bouquin.
Dans l’ensemble, j’ai apprécié ma lecture. Si je devais la résumer en un seul adjectif, ce serait mignon. Oui, ce récit est vraiment mignon, voire attendrissant à découvrir (ou à redécouvrir mon cas). Le roman comporte très peu de dialogues, mais ce n’est pas gênant vu qu’il fait moins de 200 pages. De plus, comme des animaux sont au centre de l’histoire, l’auteure n’a pas jugé utile de les humaniser et tant mieux. Au contraire, j’ai trouvé intéressant qu’elle décrive le comportement des deux chiens et du chat domestiques en pleine nature, sans les faire “parler entre eux” pour autant. On a donc surtout à faire à des descriptions et à des péripéties (qui ne sont ni trop courtes, ni trop longues). Et c’est ce qui m’a aidé à m’attacher à eux et à vouloir suivre leurs aventures.
Pour résumer, ce livre m’a transporté. C’est le genre de lecture qui ne prend pas la tête, en tour cas. Ça m’a ainsi donné envie de revoir le film, qui m’avait beaucoup plu à l’époque. J’ai également pu profiter de la vieille édition de 1965, que ma mère m’a prêté. Celle-ci est d’ailleurs illustrée et les dessins sont vraiment beaux. Et la traduction est convaincante, même on n’emploierait plus certaines tournures de phrases aujourd’hui. Je pense même que pour un enfant, le livre reste accessible à l’heure actuelle.
Et vous, avez-vous lu L’Incroyable Voyage de Sheila Burnford ? Si oui, qu’en avez-vous pensé ?
J’ai dû voir le film au moins une dizaine de fois… j’étais fan !
Je l’ai vu plusieurs fois et je me rappelle, j’avais trop de la peine pour le gros chien blanc (je ne sais plus son nom), car je trouvais que les êtres humains étaient pas gentils avec lui. xD Bon, j’étais petit et je comprenais pas trop. ^^’ Mais quand la chatte (Sally ?) a failli se noyer dans la rivière, j’ai voulu pleurer.
C’était Shadow que je préférais mais c’est vrai que Sassy, Chance et lui (décidément fan) étaient toutes vraiment touchantes 🙂 les dernières minutes étaient déchirantes !
J’ai vu, revu, et re-revu le film (et toujours pleuré vers la fin), et j’ai découvert il y a deux ans qu’il était tiré d’un livre. Comme j’essaie de lire un peu en anglais de temps en temps, je l’ai lu dans sa version originale (c’est accessible aux mauvais anglophones comme moi qui connaissent bien l’histoire, car le style est simple). Et ben j’ai pleuré vers la fin aussi. Merci pour cet article, je pense que je vais le relire maintenant *part chercher des mouchoirs*
de rien ! content que cet article t’ait rappelé de bons souvenirs !