Voici un film qui m’a beaucoup surpris, dans le bon sens du temps. Pourtant, Megalopolis de Francis Ford Coppola a surtout accusé le coup au Box-Office, face à la critique négative dont il fait l’objet depuis sa projection à Cannes. Il faut dire aussi qu’en sortant de la séance, on a l’impression d’avoir vu l’œuvre autocomplaisante d’un réalisateur mégalomane sur les bords (et il nous le fait bien comprendre dans son long-métrage). Mais pas que.
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En sortant de ma séance de Quand vient l’automne, j’ai vu l’affiche de Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau et j’ai alors su que je voulais le voir. Je ne sais pas si je l’ai déjà dit ici, mais j’adore les chats. Ça tombait donc sous le sens que j’achète un ticket de cinéma pour ce film d’animation. Et la bande-annonce, qui donne envie de le regarder sans trop en dévoiler, a confirmé ma décision. Alors, verdict ?
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J’avais peur, en ce qui concerne le biopic réalisé par Ali Abbasi. En effet, les biopics américains sont souvent très manichéens et édulcorent beaucoup la réalité des faits. Et vu qu’il porte sur la figure politique controversée qu’est Donald Trump, on pouvait s’attendre à deux choses : soit il serait dépeint comme une victime, soit il serait présenté comme un bourreau. Au final, The Apprentice se révèle être beaucoup plus subtil que ça.
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Entre sa tournée et son film Nevermore — dont je vous parlerai bientôt sur le blog —, Mylène Farmer s’essaie à la narration sur grand écran dans une nouvelle adaptation de Bambi. Selon Michel Fessler (son réalisateur), cette version est plus fidèle au roman de Felix Salten. Rien à voir avec le classique de Disney, donc. De plus, ce documentaire-fiction met en scène de vrais animaux, ce qui apporte une plus-value (malgré la polémique entourant le film — je reviens dessus plus bas). Alors, quel est mon avis sur Bambi — L’histoire d’une vie dans les bois ?
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Passée inaperçue à sa sortie, cette nouvelle version d’Emmanuelle vaut pourtant le coup d’œil. Réalisé par Audrey Diwan, ce long-métrage offre un regard féministe sur le symbole féminin érotique le plus célèbre de ces cinquante dernières années. Je n’ai pas encore vu la version de Just Jaeckin, donc je ne pourrai pas apporter d’éléments de comparaison. Mais ça ne m’a pas empêché d’apprécier cette monture-ci.
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Bonjour à toutes et à tous ! Voici mes mini critiques des films que j’ai vus au mois de novembre 2024 et que j’ai également publiées sur Instagram.
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Après le premier volet que, personnellement, j’avais bien aimé sans le trouver exceptionnel, la Warner et Todd Phillips nous proposent une suite… sous forme de comédie musicale ! Et qui dit comédie musicale, dit Lady Gaga. En effet, c’est elle qui a été choisie pour interpréter le grand Amour du Joker, Harley Quinn. Les attentes du public étaient donc élevées. Pour ma part, comme j’aime beaucoup Lady Gaga (cf. mon compte-rendu du Chromatica Ball), je comptais aller voir le film. Malgré les nombreux retours mauvais.
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Je n’ai pas vu le premier volet sorti en 1988 — à l’heure où j’écris ces lignes — et à vrai dire, ça ne m’a pas gêné dans mon visionnage de Beetlejuice Beetlejuice. Il y a effectivement des références à son prédécesseur, mais selon moi, ça ne perturbe pas la compréhension de l’histoire. Même si le scénario part dans tous les sens. Et c’est la principale faiblesse de cette suite qui, par ailleurs, n’est pas indispensable comme long-métrage en tant que tel.
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Il me tardait de voir ce thriller après avoir visionné sa bande-annonce anxiogène et angoissante. En effectuant des recherches sur le film de James Watkins, j’ai appris l’existence d’une version danoise dont celle-ci est un remake. J’ai donc d’abord regardé Speak No Evil de Christian Tafdrup avant d’aller voir le remake américain le lendemain. Avant de vous parler en détail de Speak No Evil de Watkins, je vous donne brièvement mon avis sur la version Tafdrup.
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Garfield : Héros malgré lui était le dernier film sorti cet été qu’il me restait à voir. Pour être franc, je n’en attendais pas grand-chose. Au mieux, je passerais un bon moment. Au pire, je serais aussi déçu que je l’ai été par Migration. Heureusement, c’est le « au mieux » qui l’a emporté. Mieux (haha !), le long-métrage d’animation de Mark Dindal délivre un joli message sur l’exploitation animale.
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