Second film du week-end : Sin City 2, attendu quand même depuis presque dix ans ! Et j’en ai d’ailleurs profité pour voir le premier volet, avant d’enchaîner avec son successeur.
Autant vous prévenir de suite : autant j’ai assez bien adhéré à l’univers “comics dans le septième art” (et, en même temps, je trouve que les deux opus ont un côté “téléfilm” trop prononcé), autant j’ai trouvé les intrigues et les personnages fades.
Dans les deux cas, le temps s’écoule lentement, trop lentement, malgré le fait que le scénario soit bourré d’action et que la mise en scène soit très dynamique (et dotée d’un certain style, grâce à la photographie et au montage). D’ailleurs, j’ai trouvé que l’univers de Sin City était très proche de celui de Quentin Tarantino, tant au niveau visuel qu’au niveau de l’humour noir. Mais, malgré cela, je n’ai pas accroché à l’ensemble.
Restent les comédiens qui ont bien été dirigés par les deux réalisateurs du film (j’ai juste eu du mal avec Jessica Alba en femme tueuse et vengeresse).
Enfin, j’ai eu des difficultés à me repérer dans le déroulement des événements, étant donné que ce deuxième volet se passe avant, pendant et après le précédent.
Donc, quelque part, je comprends mieux le flop de A Dame to kill for, tant ce dernier restera anecdotique parmi les “blockbusters” sortis en 2014.