Ce mois de juillet 2013 ne brille pas vraiment par ses sorties sur grand écran. Enfin, c’est ce que je pensais, jusqu’à ce que j’aille voir des films qui ne m’attiraient pas forcément (Le Congrès, Les Reines du Ring, Paris à Tout Prix ou encore le dyptique Marius/Fanny) et m’ont plu en fin de compte. Et dimanche soir, je me suis laissé tenter par Pacific Rim.
Aller voir ce diptyque ne me faisait pas spécialement envie mais, par curiosité (et pour accompagner une amie aussi), j’y suis allé.
Voilà une excellente comédie française, dont on se souviendra encore, à l’instar de Tout Ce Qui Brille ! J’ai pris cet exemple-là, car je trouve que c’est le film qui, selon moi, se rapproche le plus de Paris à Tout Prix, au niveau de la thématique, soit celle de l’héroïne étrangère d’origine et française d’adoption qui tente de se faire une place dans un monde n’étant pas le sien, quitte à renier ses propres origines.
Un film avec, en tête d’affiche, Owen Wilson et Vince Vaughn, ce n’est généralement pas ma tasse de thé. Mais vu le titre de leur dernier film, et parce que, moi aussi, je suis passé plusieurs fois par la case « stage », j’avais envie de voir ça du point de vue de ce duo.
Encore un coup de cœur pour les studios Pixar ! Après la grande réussite qu’était Rebelle l’an dernier, ce n’est pas une suite, mais un prequel qui vient colorer le grand écran, en cet été 2013. Et après un premier volet, Monstres & Compagnie, qui m’a bien plu, sa « suite » Monstres Academy est vraiment bonne.
Je ne saurais dire si j’ai aimé ou pas… Ce qui est sûr, c’est que le côté réaliste de World War Z m’a beaucoup plu, mais j’ai été moins emballé par son ambiance générale.
Je pense qu’il faut être arrivé à sa fin pour comprendre le véritable postulat de The Congress.
Les Reines du Ring s’est avéré être une agréable et étonnante surprise, en ce début de vacances estivales.
Voici mon premier film vu à l’occasion de la Fête du Cinéma. A Very Englishman (ou The Look of Love en VO) m’attirait surtout pour son côté burlesque. Et ce sont, d’ailleurs, les numéros empreints de cette culture qui m’ont le plus plu, dans ce long-métrage. Car l’œuvre de Michael Winterbottom ne se risque finalement pas trop à réinventer le genre du biopic au cinéma.
Je n’avais pas vu le premier volet à sa sortie, tout simplement car ça ne m’intéressait pas. Et après avoir vu le teaser, je me suis laissé tenter, en grande partie pour voir les minions à l’œuvre.