[CINÉMA] New Year’s Eve

Le jour de la Saint-Sylvestre à New York, l’amour prend place dans la vie de plusieurs personnes, et ce sous diverses formes…

Si j’avais été un peu déçu par Valentine’s Day, j’ai beaucoup aimé New Year’s Eve. On se sent ainsi transporté deux heures durant, grâce à toutes ces histoires ordinaires et touchantes.

Je n’ai pas forcément d’intrigue favorite dans ce film, et c’est ce qui fait que j’ai aimé justement. Au contraire, j’avais mes histoires favorites dans Valentine’s Day, car tel acteur ou telle actrice y jouait (je me souviens encore du fameux téléphone rose d’Anne Hathaway et Topher Grace). Là, j’ai plus ou moins aimé tous les acteurs, même si j’ai mes préférences. J’avoue avoir fondu face à :

  • la charmante Lea Michele (pourtant, son personnage dans Glee m’agace) ;
  • Katherine Heigl (qui est toujours aussi sublime) ;
  • Sarah Jessica Parker en mère poule célibataire (ça fait plaisir de la voir dans d’autres types de rôle que celui de Carrie Bradshaw) ;
  • Michelle Pfeiffer (en employée dépressive en apparence, mais attachante au fond) ;
  • Halle Berry (en infirmière au grand cœur).

Mais le plus étonnant, c’est que j’ai aimé les performances d’acteurs que je déteste d’habitude, comme celles d’Ashton Kutcher et de Zac Efron. Dans l’ensemble, tous font donc de bonnes prestations.

Après, j’ai été déçu par le fait que tous les personnages ne soient pas forcément liés entre eux, comme dans Valentine’s Day. Bon, j’avoue quand même avoir tenté de deviner :

  • qui était la fameuse prétendante dans l’histoire de Josh Duhamel (bien que j’aie vite fini par comprendre) ;
  • qui était parent/parente avec Robert De Niro ;
  • pourquoi Jon Bon Jovi avait plaqué Katherine Heigl comme une malpropre ;
  • pourquoi Ashton Kutcher détestait la Saint-Sylvestre (bon là, je m’en foutais un peu).

Donc, encore une fois, le film remplit son contrat.

En comptant les plans de la magnifique ville de New York (et surtout les scènes de Times Square), New Year’s Eve s’avère être un honnête divertissement. Même s’il est truffé de morales « bébêtes », on ne peut pas s’empêcher de passer du rire aux larmes aux côtés des différents personnages. À noter que le générique, sous fond de P!nk, est vraiment sympa et tordant.

Un film à aller voir, idéalement, le soir du 31 (si ce n’est pas encore fait). Sinon, dès le 1er janvier !

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