
Second film de Thomas Ngijol cette année, après le très bon Crocodile du Botswanga. Comme toujours, c’est incisif, aussi bien dans la forme que dans le fond.

Second film de Thomas Ngijol cette année, après le très bon Crocodile du Botswanga. Comme toujours, c’est incisif, aussi bien dans la forme que dans le fond.

Case Départ s’était avéré être une agréable surprise, à mes yeux, et un bon bol d’air frais dans le paysage cinématographique français. Et Le Crocodile du Botswanga s’annonçait également comme tel. Honnêtement, c’est le cas.