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1. Umbrella (feat. Jay-Z)

2. Push Up On Me

3. Don’t Stop The Music

4. Breakin’ Dishes

5. Shut Up And Drive

6. Hate That I Love You (feat. Ne-Yo)

7. Say It

8. Sell Me Candy

9. Lemme Get That

10. Rehab

11. Question Existing

12. Good Girl Gone Bad

 

On continue dans notre série des "indispensables musicaux solaires" ! Et quoi de mieux qu’un album bien sexy, qui donne la pêche ? Car, oui, un an après sa sortie, j’admets enfin que Good Girl Gone Bad, troisième et dernier opus en date de la miss Rihanna, est une pure bombe, parfaite pour danser jusqu’au bout de la nuit.

 

Ainsi, après avoir joué les jeunes ados prudes sur SOS et Unfaithful, c’est en femme fatale qu’elle nous revient ! Désormais, c’est en chantant "Take my umbrella-ella-ella" que le monde succombera à la nouvelle Riri (comme ses fans aiment la nommer). En sortant cette chanson up-tempo, l’artiste signe son plus gros succès, et ça se comprend : rien n’est à jeter dans Umbrella, y compris l’intro de Jay-Z et le pont (et pourtant, ce n’est pas ça qui m’emballait le plus, au départ).

 

Concernant le reste de l’album, c’est une autre histoire. Il faut dire que j’ai eu énormément de mal à trouver un seul titre de qualité. Pourtant, je ne peux désormais plus me passer de Breakin’ Dishes, qui fait qu’on se déhanche inlassablement, ou bien encore de Push Up On Me, avec son style électro "bizarre".

 

Alors, certes, la chanteuse n’a jamais prétendu être originale, mais elle réussit à s’approprier l’électro/dance de Don’t Stop The Music (avec un super sample de Wanna Be Startin’ Somethin de Michael Jackson), puis le R’N’B/rock de l’explosif Shut Up And Drive (et si vous n’êtes pas convaincus, allez donc écouter la version remixée de Wide Boys).

 

Après, on passe à la seconde partie de l'album, qui est plus tiède. On commence par les très moyens Sell Me Candy (cette voix retouchée m’insupporte toujours !) et Question Existing (j’aime bien l’intro "futuriste", mais ça s’arrête là), avant d’enchaîner avec Say It (à écouter une ou deux fois, avant de passer à autre chose) et le très bon Lemme Get That (qui rappelle beaucoup The Hook Up de Britney Spears), pour finir avec les ballades. Il y a Hate That I Love You (au début, je la trouvais fade, parce que ça fait beaucoup penser à l’énervant So Sick de Ne-Yo, mais j’aime bien au final), Rehab (on ne pouvait échapper à Timbaland et Justin Timberlake donc, forcément, ça sonne comme étant du déjà-vu) et Good Girl Gone Bad (la meilleure ballade du lot, digne d’une bande originale).

 

Pour conclure, cet album, non pas doté de défauts, se laisse écouter facilement.

 

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