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Le jour de la Saint-Sylvestre à New York, l’amour prend place dans la vie de plusieurs personnes, et ce, sous diverses formes…
Je ne vais pas vous faire un synopsis plus long, car il y a vraiment trop de choses à dire ! En tout cas, si j’avais été un peu déçu par Valentine’s Day (parce que certaines histoires étaient vraiment ennuyeuses, à cause de certains acteurs), j’ai beaucoup aimé New Year’s Day. Bon, le casting n’est peut-être pas aussi hype qu’on l’aurait voulu, car honnêtement, qui connaît vraiment Sofia Vergara (Modern Family, pour celles/ceux qui connaissent) et Carla Gugino ? Bon, j’imagine qu’aux Etats-Unis, ces deux là et d’autres ont sans doute une grosse notoriété. J’ai été également étonné de voir Robert De Niro, Hilary Swank et Halle Berry à l’affiche. Enfin, peu importe, car on se sent vraiment transportés deux heures durant, avec toutes ces histoires banales, certes, mais qui nous touchent.
Je n’ai pas forcément d’histoire préférée dans ce film, et c’est ce qui fait que j’ai aimé justement. Au contraire, j’avais mes histoires favorites dans Valentine’s Day, car tel acteur ou telle actrice y jouait (je me souviens encore du fameux téléphone rose d’Anne Hathaway et Topher Grace). Là, j’ai plus ou moins accroché à tous les comédiens, même si, encore une fois, j’ai mes préférences. J’avoue avoir fondu face à la charmante Lea Michele (et pourtant, le personnage de Rachel dans Glee m’insupporte), à Katherine Heigl (toujours aussi sublime), à Sarah Jessica Parker en mère poule célibataire (ça fait plaisir de la voir dans d’autres types de rôle que celui de Carrie Bradshaw), à Michelle Pfeiffer (en employée dépressive en apparence, mais attachante au fond), ou encore à Halle Berry (en infirmière au grand cœur). Mais le plus étonnant, c’est que j’ai aimé les performances d’acteurs que je déteste d’habitude, comme celles d'Ashton Kutcher et de Zac Efron. Mais dans l’ensemble, tous réalisent de bonnes prestations.
Après, j’avoue avoir été déçu par le fait que tous les personnages ne soient pas forcément liés entre eux, comme dans Valentine’s Day. Bon, j’avoue quand même avoir tenté de deviner qui était la fameuse prétendante dans l’histoire de Josh Duhamel (bien que j’aie vite fini par comprendre), qui était parent/parente avec Robert De Niro, pourquoi Jon Bon Jovi avait plaqué Katherine Heigl comme une malpropre, ou encore pourquoi Ashton Kutcher détestait la Saint-Sylvestre (bon là, je m’en foutais un peu). Donc encore une fois, le film a bien rempli son contrat.
En comptant les plans de la magnifique ville de New York (et surtout les scènes de Times Square), New Year’s Eve s’avère être un honnête divertissement. Même s’il est truffé de morales bidons, on ne peut s’empêcher de passer du rire aux larmes aux côtés des différents personnages, et ce, en un clin d’œil. A noter que le générique, sous fond de P!nk, est vraiment sympa et tordant. Un film à aller voir, idéalement, le soir du 31 (si ce n’est pas encore fait). Sinon, dès le 1er Janvier !