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Le 31/10/2013

Séries T.V. > Homeland (Saison 2)

Petit à petit, je rattrape mon retard, en ce qui concerne les séries de la saison 2012-2013, avant de m'attaquer à celles de 2013-2014. Je viens donc de finir la saison 2 de Homeland hier soir, et j'en suis encore tout retourné ! Bon, évidemment, parce qu'il faut bien trouver d'autres idées pour faire perdurer le succès, je m'attendais à ce que tout soit chamboulé, encore une fois. Notamment en ce qui concerne l'histoire d'amour impossible entre Carrie et Brody. Franchement, j'adore ce couple, qui est très attachant. Dès le début de cette saison, j'attendais avec impatience les retrouvailles des deux ex-amants, et il faut dire que la production a mis le paquet ! L'épisode 5 est d'ailleurs le meilleur épisode de la série, toutes saisons confondues (bon, il n'y a en que deux pour le moment, mais même !). En tout cas, c'est vraiment cet élément-là qui m'a fait davantage aimer cette série, pour laquelle j'ai eu un véritable coup de coeur. Sinon, j'ai bien aimé la jeune Dana, la fille de Brody. Oui, je sais, je disais le contraire, lorsque je vous avais parlés de la première saison. Mais là, il faut dire que le personnage a bien évolué, en devenant plus mature, le jeu de l'actrice s'étant considérablement amélioré (même si elle a encore cet air bêta sur son visage, par moments). Et puis, il y a aussi le fait que chaque épisode ait son lot de péripéties inattendues, tout en étant parfois prévisibles. Et surtout, tous les épisodes sans exception se terminent pile au moment où on ne s'y attend pas ! J'allais oublier : Claire Danes et Damian Lewis sont vraiment de très bons acteurs, tandis que le personnage de David Estes est une véritable ordure ! A présent, je m'octroie une petite pause en ce qui concerne Homeland, histoire de prendre du recul avant de voir la saison 3.

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Le 30/10/2013

Cinéma > The Mortal Instruments: City of Bones

Décrite comme un successeur de la saga Twilight, il n'en est finalement rien pour la nouvelle saga fantastique The Mortal Instruments. Du moins, on y retrouve quelques éléments qui ont jadis fait le succès des films vampiriques : je veux parler, bien entendu, du fameux triangle amoureux et de l'inévitable histoire d'amour impossible, qu'on nous ressert à chaque fois. Passés ces deux (gros) détails, on se surprend à retrouver également quelques similitudes avec Harry Potter (l'immense "château", où se réfugient les seuls chasseurs d'ombre qui restent sur Terre). Rien de bien original, jusque-là. Vous ajoutez un personnage principal masculin aux répliques et à l'humour douteux (et aux cheveux secs et cassants, en plus de ça) et une héroïne trop appeurée pour que ce soit juste et crédible (cependant, elle évoluera bien par la suite). Jusque-là, ça ne laisse présager rien de bon pour cette Cité des Ténèbres... Heureusement, l'histoire est bien compréhensible du début à la fin (même si je n'ai pas lu le roman, je pense que ce dernier a bien été adapté), les personnages s'avèrent être attachants, l'action est de mise (ça ne s'arrête pas !) et les effets spéciaux sont réussis (les démons sont, par ailleurs, effrayants et ont un aspect "dégoûtant"). Cependant, les révélations sont attendues, ce qui fait qu'il n'y a donc aucune surprise. Ajoutons que, malgré l'échec au Box-Office, une suite est prévue, ce qui titille ainsi ma curiosité. Mais ce n'est pas le film de l'année, LOIN de là !

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Le 26/10/2013

Cinéma > Turbo

On continue ces vacances de la Toussaint, avec le second film d'animation de cet automne, j'ai nommé Turbo. Alors, si on fait abtraction du synospsis "tiré par les cheveux" (un escargot qui participe à une course de Formule 1, on ne voit ça qu'au cinéma !), je peux vous assurer que ce dessin-animé est une véritable réussite ! J'avais déjà bien aimé Planes et sa course autour du monde dans les airs, mais là, j'ai tout simplement adoré Turbo, ou les nombreuses péripéties d'un escargot pour réaliser son rêve le plus cher. C'est mignon tout plein, on s'attache d'emblée au héros, on est touché parce qu'il lui arrive, et on est même pris par la tension et le suspense à la fin, comme le public qui espère voir ce tout petit héros finir premier de la course. Et ce, même si on connait la fin d'avance. Pour ce qui est de la 3D, j'ai été également très agréablement surpris, dans le sens où elle nous immerge dans les décors du film, où évoluent nos différents personnages. Cela fait ainsi du bien de voir que le procédé est, pour une fois, bien maîtrisé dans un long-métrage animé. Et on ne peut pas ne pas mentionner l'humour, qui est assez présent durant toute la durée du film (les scènes avec les corbeaux m'ont particulièrement bien fait marrer). Encore un bon dessin-animé que je vous conseille !

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Le 24/10/2013

Cinéma > Gravity

J'entendais parler de Gravity depuis quelques mois, en bien qui plus est, ce qui m'a poussé à aller le voir en 3D ET en VOST. Eh bien, je dois vous dire que j'ai été très agréablement surpris ! Certes, j'ai mis du temps avant de rentrer dans l'histoire, le film démarrant doucement, mais une fois dedans, on ne décroche plus ! D'emblée, ce qui m'a le plus frappé, c'est la 3D. Il y a vraiment cette agréable impression de profondeur, ce qui fait qu'on a le sentiment de se retrouver dans l'espace, aux côtés des personnages. La photographie du film est d'ailleurs très belle, et on voit bien que beaucoup de travail a été réalisé pour rendre le tout le plus réaliste possible. Ensuite, j'ai beaucoup entendu dire du scénario qu'il était simpliste. Alors oui, l'intrigue, elle, est simpliste, mais j'ai trouvé que le scénario était riche en rebondissements ! Quand une action se termine, il en arrive une autre, sans qu'on ne s'y attende (surtout dans la seconde partie du film) ! Qu'en est-il du casting ? Pour moi, il se résume seulement au nom de Sandra Bullock, Georges Clooney faisant juste de la figuration pour moi. D'ailleurs, et pour une fois, j'ai trouvé que Sandra interprétait son rôle avec beaucoup de naturel, même si on y retrouvait un peu de son humour bien connu. Dans tous les cas, ça fait du bien de la voir ainsi, en tant qu'actrice, et j'espère qu'elle choisira d'incarner d'autres personnages de cette manière, sans délaisser pour autant les comédies qu'elle affectionne tant. En route pour les Oscars ? D'un côté, ça ne m'étonnerait vraiment pas ! Enfin, il ne faut pas oublier la bande originale, qui rend le film davantage grandiose. Bref, Gravity est un grand film, dans tous les sens possibles du terme. Un grand film que j'irais volontiers revoir !

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Le 22/10/2013

Musique > NMA 2014 : mes votes !

TF1 et NRJ remettent ça : les NRJ Music Awards, c’est bientôt ! Et la nouveauté cette année, c’est que la cérémonie n’aura plus lieu en Janvier, mais bien en Décembre ! Cela laisse donc présager le mieux pour cet événement musical, en perte de vitesse depuis quelques années. On peut ainsi s’attendre à la venue de plein d’artistes internationaux, qu’on nous promet depuis des années. Katy Perry a même déjà confirmé sa présence, tandis que Lady Gaga et Miley Cyrus se laisseraient bien tenter, paraît-il ! Et cette fois, Britney pourrait même venir faire un coucou à ses fans français (qui sont les plus nombreux à la soutenir, depuis 2008), avant de s’enfermer à Las Vegas pour deux ans ! Enfin bref, passons aux votes !

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Le 20/10/2013

Cinéma > Eyjafjallajökull

Eyjafjallajökull était dans ma liste de films à voir depuis un moment. De plus, je m'étais réconcilié avec Dany Boon, grâce à son duo avec Diane Kruger dans le fort sympathique Un Plan Parfait. Avec la bande-annonce alléchante, ça m'a donné trois bonnes raisons d'aller voir cette nouvelle comédie française ! Du coup, qu'est-ce que ça donne ? Eh bien, si on enlève la première partie du film (les scènes comiques étant déjà présentes dans la bande-annonce), Le Volcan est très drôle. Le moment qui m'a le plus marqué ? La séquence dans le camping-car, avec un Denis Ménochet qui lui donne tout son potentiel comique. Le duo Dany Boon/Valérie Bonneton fonctionne également très bien. Ce qui m'a le moins plu ? Les situations rocambolesques, dans lesquelles se fourent les deux héros, ce qui rend l'ensemble assez irréaliste et, de ce fait, trop fantaisiste. En résumé, j'ai passé un moment agréable, mais ce film ne m'a pas non plus marqué tant que ça.

Cinéma > Au Bonheur des Ogres

Autre film (français) qui me faisait envie cette semaine : Au Bonheur des Ogres, adapté du roman du même nom de Daniel Pennac. Connaissant un peu le style de l'auteur, je m'attendais effectivement à quelque chose de barré. Et ça l'est, aussi bien dans le scénario que dans les personnages, et également dans la mise en scène ! Entre des bombes qui explosent, les histoires irréalistes que le héros raconte à sa famille pour les distraire et sa jeune soeur qui lit dans les cartes pour prédire l'avenir, on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer pendant 1h30 ! Et en plus de la comédie sociale, on a droit à un thriller policier. Dommage, cependant, que l'identité du coupable soit trop prévisible... Pour ce qui est du casting, ça nous change de voir Raphaël Personnaz dans un rôle où il ne prend pas l'accent du Sud, et de voir Bérénice Bejo pétillante comme jamais. Une comédie à ranger parmi les films sympas de l'année 2013.

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Le 16/10/2013

Cinéma > Planes

En ce moment, je suis en pleine période Disney, avec les grands classiques (La Petite Sirène, Le Roi Lion, Blanche-Neige, La Belle au Bois Dormant...). Et ça tombe bien, puisque la firme américaine a sorti son petit dernier, Planes, qui est un spin-off de la saga Cars. Bon, évidemment, on ne change pas une recette, qui a été de nombreuses fois gagnante par le passé : nous avons un gentil qui est rêveur, plein d'espoir et qui manque de confiance en lui, face à un grand méchant qui est arrogant, prétentieux et prêt à tout pour gagner. Autour d'eux, on a des personnages secondaires tantôt drôles (le mexicain El Chupacabra), tantôt touchant (Skipper). L'histoire reprend grosso modo la même trame que celle de Cars 2 (une course en plusieurs étapes, qui consiste à faire le tour du monde). Bon, comme d'habitude, chez Disney, c'est joli et propret au niveau des graphismes, rien à leur reprocher de côté-là. Ensuite, c'est mignon et naïf, et le grand enfant qui sommeille en chacun de nous sera ravi (et versera même une toute petite larme à la fin). Au niveau des quelques regrets ? Le héros aurait pu être plus attachant et l'humour manque beaucoup à l'appel. Mais, dans l'ensemble, ce nouveau Disney est une jolie réussite, qui plaira aux enfants (essentiellement) et aux adultes (les plus sensibles, cependant).

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Le 12/10/2013

Cinéma > La Vie d'Adèle - Chapitre 1 et 2

Cet après-midi, malgré le temps pluvieux, je suis allé voir la palme d'or 2013 de Cannes, La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2. Alors, est-ce que le prix était-il vraiment mérité ? Je répondrai à cette question, tout en sachant que c'est un point de vue subjectif. Mais tout ce que je peux vous dire, c'est que c'est un très bon film, qui est juste et extrêmement bien joué. Ainsi, on s'attache à la jeune Adèle, incarnée avec force et brio par Adèle Exarchopoulos (qui a devant elle un avenir brillant, c'est certain). Et puis, comme pour Ozon filmant Marine Vacth dans le récent Jeune et Jolie, Abdellatif Kechiche sublime sa muse en la rendant belle et charmante. Et puis, je ne peux pas ne pas mentionner la très talentueuse Léa Seydoux, vraiment habitée par son rôle. A elles deux, Léa et Adèle forment un couple aussi beau que déchirant (la scène de rupture est d'une intensité rare). Enfin, la très longue durée du film peut en effrayer beaucoup (trois heures, tout de même !), mais croyez-moi, il y avait beaucoup à dire sur la vie de cette jeune fille qui grandit sous nos yeux, en s'affirmant en tant que femme et adulte. Et on ne s'ennuie absolument pas une seconde ! Seuls détails dérangeants : les scènes de sexe qui en montrent beaucoup trop et qui se multiplient. Alors, d'accord, une scène, ça va, mais quand elles s'enchaînent, ça ne va plus ! Et visiblement, je ne suis pas le seul à avoir été dérangé par cela. Malgré tout, chapeau aux deux actrices pour avoir osé TOUT montrer ! Bref, c'est sûrement un film que je retournerai voir, puis que j'achèterai en blu-ray à sa sortie.

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Le 09/10/2013

Séries T.V. > The Vampire Diaries (Saison 5)

Cela fait un petit bout de temps que je n'ai pas parlé de séries T.V. ici ! Je dois aussi avouer que j'avais pris du retard cette année, mais étant donné que je n'ai rien à faire (pour le moment), je le rattrape. Et j'ai ainsi décidé de terminer la saison 4 de The Vampire Diaries, qui était en stand-by depuis... Décembre 2012 !

Bon, je ne me souviens pas trop de ce début de saison, si ce ne sont les difficultés d'Elena à s'adapter à sa nouvelle "vie". Car oui, Mesdames et Messieurs, la demoiselle est bien devenue une vampire ! Sur le coup, ça m'a bien évidemment rappelé la saga Twilight, la seule différence étant que l'une voulait être immortelle et l'autre non. Enfin, bref, j'avoue désormais apprécier ce personnage dans sa "nouvelle" peau, moi qui la trouvais encore niaise et tête à claques l'an dernier. J'ajouterais même que Nina Dobrev est une très bonne actrice, et qu'elle est capable de varier les palettes d'émotions des deux rôles qu'elle interprète. La série avait aussi grandement besoin de changer de méchant, et c'est chose faite avec l'apparition de Silas. Et donc, par la même occasion, l'"exclusion" de Klaus et sa famille (mise à part Rebekkah, mais j'aime beaucoup ce personnage personnellement). En effet, je reproche encore à la série de recycler ses vieilles intrigues et ses personnages (le fait que certains meurent et ressuscitent à chaque fois, par exemple). Mais contrairement à la saison 3, ça ne m'a pa dérangé cette année, tant j'ai apprécié cette saison 4 (la seconde partie, surtout). Quant aux cinq dernières minutes du season finale, même si je savais déjà ce qui allait se passer (je n'ai pas pu m'empêcher de lire les spoilers...), elles laissent présager un bon début de saison 5.

Cette quatrième saison est donc celle qui m'a réconcilié (définitivement ?) avec la série.

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Le 07/10/2013

Cinéma > Parkland

Profitant de la seule séance en VOST, je suis allé voir Parkland hier soir. Je ne m'attendais vraiment à rien, dans le sens où je n'avais ni entendu parler du film, ni vu la bande-annonce. Et si j'ai eu du mal à rentrer dans le tout au départ, je suis ressorti agréablement surpris de la salle de cinéma. Si j'ai trouvé ce film trop tire-larmes (un peu logique aussi, vu le contexte de l'époque, mais bon...), j'ai pu en apprendre davantage sur l'assassinat de Kennedy et ce qui entourait cet événement tragique. Le fait que ce soit un film choral et que plusieurs intrigues s'entrecroisent renforcent le côté divertissant de l'ensemble. Le casting est, en toute logique, très convaincant. Je retiens particulièrement Marcia Gay Harden, Jacki Weaver (qui incarne une Marguerite Oswald vraiment barrée), James Badge Dale, Tom Welling et Jeremy Strong (l'assassin de Kennedy). Pour les fans de la série One Tree Hill, il y a même Austin Nichols ! Un bon film historique à voir !

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Le 06/10/2013

Musique > Albums > Miley Cyrus, Bangerz +

S’il y a une personne qui a fait parler d’elle en 2013, c’est bien Miley Cyrus ! Ou Miley 2.0., pour les intimes. Robin Thicke et Daft Punk ont beau eu signé les deux plus gros tubes de cet été, on se souviendra d’Hannah Montana de Miley et son twerk, de Miley et ses clips de mauvais goût, de Miley et sa performance scandale aux VMA’s, de Miley et sa langue… Bref, de Miley tout court !

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Le 03/10/2013

Cinéma > Diana

Ce biopic a beau faire scandale outre-Manche, il n'empêche que j'ai beaucoup aimé Diana. Même si les anglais n'apprécient pas ce qu'on montre de l'ex-Princesse de Galles dans le film qui lui est dédié, j'ai justement apprécié le fait qu'on ait montré la femme derrière la façade. Oliver Hirschbiegel (le réalisateur) réussit ainsi à montrer le côté inaccessible et fascinant du personnage et, en même temps, le caractère mélancolique et solitaire de la femme. Ce qui fait qu'on s'attache à cette Diana, qu'on ne connaissait que très peu au final (même si, personnellement, je savais que sa surpopularité l'avait tuée). Ce bon point, on le doit également à la bonne performance d'actrice de Naomi Watts, qui a bien su restranscrire les principaux états émotionnels du rôle qu'elle interprète. Et puis, elle a bien travaillé son accent britannique ! Après, je vous avoue que d'un point de vue physique, j'avais beaucoup l'impression de voir Naomi plutôt que Diana (mais ce n'est qu'un détail). Face à elle, Naveen Andrews fait oublier, à travers son talent, qu'il se fait très discret depuis la fin de LOST (la série qui l'a révélé au monde entier). Et puis, il y a cette histoire d'amour impossible, dont on connaît l'issue tragique d'avance. Malgré tout, on y croit jusqu'au bout, en étant émerveillé par tant d'alchimie émanant entre les deux protagonistes principaux. En résumé, un bon biopic qui vaudra peut-être une nomination aux Oscars 2014 à son actrice principale.

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Le 01/10/2013

Cinéma > The Way

Cet après-midi, je suis allé voir The Way, film sorti... en 2011 ! Ah, la France et son légendaire retard... Bref, tout ça pour dire que ça fait du bien de voir des films comme ça, sans prise de tête, où les bons sentiments priment, où "tout le monde, il est beau, il est gentil". Oui, c'est assez "réducteur" ce que je dis, mais à mes yeux, La Route Ensemble va parfaitement dans cette veine. Comme Tom Avery et ses compères, on a envie de faire le pèlerinage de Saint-Jacques de Compostel, nous aussi. On se sent emporté par le tout : les décors, la bande originale (étonnant d'y retrouver Alanis Morissette et Coldplay, d'ailleurs) et l'ambiance générale. Les personnages sont vraiment tous attachants et on s'identifie facilement à eux. En effet, ce sont des gens comme vous et moi, qui ont leur histoire et leurs propres tracas. Cela dit, j'avoue avoir été un peu gavé par le caractère ronchon et fermé du héros, et il faut attendre plus d'une heure de film pour qu'il daigne enfin s'ouvrir aux autres. Pour terminer, je dirais que The Way tire beaucoup en longueur et que réduire sa durée à 1h30 n'aurait pas été de refus. Mais que, en contre-partie, il y a beaucoup d'humour, ce qui donne de la fraîcheur à ce road-movie sans prétention. Pour le reste, j'ai tout dit.