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Le 28/11/2012
Musique > Albums > Rihanna, Unapologetic
Sept ans de carrière, donc septième album. Je m’attendais à un opus du même niveau que le très moyen Talk That Talk. Je m’attendais aussi à un album rempli de ballades, à l’image du premier single, le surprenant Diamonds. Eh bien, dans les deux cas, je suis trompé. Unapologetic rehausse le niveau dans la discographie de Rihanna, même si je ne le trouve pas aussi bon que Loud. Evidemment, la tendance actuelle oblige, on retrouve un peu d’électro dans ces quinze nouveaux titres, mais c’est surtout l’urbain qui prime. Et si, dans Talk That Talk, ça me dérangeait beaucoup, ça passe comme une lettre à la poste ici, tant le tout est merveilleusement bien produit (même si on sait que l’album a été enregistré à la va-vite). Mes coups de cœur de Unapologetic ? Fresh Off the Runway, Diamonds (encore un bon lead de la part de Rihanna), Numb, Pour It Up, Loveeeeeee Song, Nobody’s Business (et son beat disco entraînant), Love Without Tragedy/Mother Mary, Get Over With (qui prouvent qu’elle est décidément bien à l’aise avec les ballades) et No Love Allowed (une sorte de Man Down bis). En tout cas, l’"attente" en valait la peine.
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Le 25/11/2012
Musique > Carter Burwell, Twilight Overture
Je vais à nouveau vous parler de Twilight, cette fois avec un extrait du score. Pour celles et ceux qui sont déjà allés le voir, souvenez-vous de ce magnifique générique d'ouverture, mettant en scène la fameuse forêt où nos personnages favoris s'aventuraient parfois, sous fond de neige et de sang. Et souvenez-vous également de la mélodie composée par Carter Burwell, qui servait de fond sonore. Une belle pièce qui reprenait les principaux thèmes musicaux de la saga et qui était aussi un clin d'œil à la fin de Twilight 4 : à savoir que le début et la fin reprenaient les notes de Bella Reborn. Enfin, trêve de blablas ! Je vous laisse écouter ce petit bijou.
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Le 17/11/2012
Cinéma > The Twilight Saga - Breaking Dawn (Part 2)
Désormais, Bella est une créature de la nuit et doit apprendre à maîtriser sa soif de sang. Dans le même temps, elle doit aussi faire face à son rôle de mère et à Jacob, qui s’est imprégné de sa fille. L’éternité aurait pu être ainsi, et tout le monde aurait pu vivre heureux, si les Volturis ne venaient pas de leur déclarer la guerre, car ils croient Renéesmée immortelle…
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Le 14/11/2012
Musique > The Twilight Saga: Breaking Dawn (Part 2) (OST)
J’attendais avec grande impatience de la découvrir (c’est devenu une habitude, en quatre ans), et la voici enfin, deux jours pile poil avant la sortie du film dans les salles : la bande originale de Breaking Dawn (Part 2) ! Au programme, quatorze titres inédits, des ballades pour la plupart, ce qui est étonnant, vu que ce chapitre est censé être très soutenu au niveau de l’action. Mais qu’importe, si au début, j’avoue avoir été refroidi par ce nouvel album, il en ressort que, au final, il y a encore une fois de belles perles musicales. Ci-dessous, mon avis pour chaque chanson...
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Le 13/11/2012
Cinéma > Skyfall
Trois semaines après sa sortie et encouragé par les bons échos, j'ai enfin vu Skyfall, aka le dernier épisode de la saga James Bond. Alors, est-ce que les critiques (presse et spectateurs) ont exagéré ? Que nenni ! Tout est parfait dans ce nouveau film ! A commencer par le rythme, très soutenu : en effet, les scènes d'action sont nombreuses (merveilleusement chorégraphiées et agrémentées d'effets spéciaux du tonnerre) et, même lors des scènes plus "calmes", on continue d'être captivé par l'ensemble. Ensuite, l'humour (british, s'il vous plait) est omniprésent dans cet opus, en grande partie grâce aux répliques cinglantes de Bond et de M. En outre, on retrouve un peu le cinéma de Sam Mendes qu'on aime tant, à savoir que les personnages (James et M en premiers) sont "torturés", physiquement et mentalement. D'ailleurs, j'ai eu l'impression que ce Skyfall était une sorte de nouveau départ (Bond qui revient d'entre les morts et qui repart à zéro, en tant qu'agent secret). Cette idée est ainsi bonne et bien exploitée. Enfin, Daniel Craig fait décidément un excellent James Bond : classe, gros muscles et, surtout, humain. Tandis que Javier Bardem incarne un méchant vraiment barré. Sans oublier que la photographie est magnifique, concernant certains plans de la caméra de Mendes. Tout ça pour dire que j'ai vraiment adoré Skyfall, même si je ne connaissais que très peu la saga, au départ, et malgré le fait le tout soit assez prévisible.
En bonus : Le générique du film, interprété par Adele, est sublime.
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Le 03/11/2012
Cinéma > Un Plan Parfait
Deux ans après l'excellente surprise que fut L'Arnacœur, Pascal Chaumeuil nous livre une nouvelle comédie romantique, Un Plan Parfait, qui reprend les mêmes bases que son prédécesseur, à savoir une histoire de manipulation teintée de sentiments. Avec son nouvel essai sur grand écran, Chaumeuil s'en tire plutôt bien, même si je m'attendais à mieux. Il faut dire aussi que je me suis un peu ennuyé durant la première partie du film, la faute à des teasers qui en dévoilaient trop, de ce côté-là, et à un humour déjà vu et lourd (coucou Jonathan Cohen !). Mais sitôt l'épisode du Kenya terminé, je me suis vraiment surpris à apprécier ce Plan Parfait et à rire face aux situations incongrues des personnages. Diane Kruger se révèle être à la fois charmante et comique, tandis que les rôles secondaires ne sont pas en reste. Mais c'est surtout à Dany Boon qu'on doit les meilleurs scènes (celle chez le dentiste en premier), tant il est parfait dans ce rôle fait sur mesure (et pourtant, depuis Bienvenue Chez Les Ch'tis, je n'appréciais pas forcément cet acteur). Côté romantique, le cahier des charges est bien rempli (et j'ai, d'ailleurs, trouvé la fin très belle). Pour finir, le film nous fait voyager aux quatre coins du monde (argument secondaire, certes, mais si ça peut en convaincre certains). Un Plan Parfait m'a fait donc passer un bon moment, même s'il s'agit d'une comédie, avec ses qualités et ses défauts.
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Le 02/11/2012
Cinéma > Frankenweenie
Peu à peu, je retrouve le Tim Burton qui m'a fait rêver avec Sleepy Hollow et autre Sweeney Todd. Après un Dark Shadows bien sympathique (mais trop "fourre-tout"), Frankenweenie parvient à mêler esprit burtonien et innocence naïve disneyenne. Ce que j'aime aimé ? L'animation stop-motion en noir et blanc, qui donne au film son côté à la fois enfantin et rétro, les personnages secondaires vraiment barrés (Elsa Van Helsing et son M. Moustache, Edgar E. Gore, le maire), l'humour omniprésent et la musique de Danny Elfman. Sans oublier que je me suis attaché d'emblée au chien (en même temps, comment ne pas craquer ?). Ce qui m'a un peu ennuyé ? L'intrigue autour du concours de sciences ("qui aura la meilleure invention ?"), mais heureusement que la suite redresse le niveau (j'ai adoré l'idée de mettre en scène de vrais monstres, dont un qui rend bel hommage à Godzilla). Evidemment, qui dit Disney, dit les inévitables morales de fin et happy end (même si j'avoue avoir versé ma petite larme, comme à chaque fois). J'ai également trouvé que certaines personnages manquaient d'expression (sans doute à cause de la stop-motion). Bref, un film qui va parfaitement bien avec l'ambiance générale d'Halloween. A voir en VO, de préférence.