+ Archives > Mai 2013 +

 

Le 25/05/2013

 

Cinéma > The Big Wedding

Je ne rate jamais une comédie romantique, surtout quand Katherine Heigl figure dans le casting. Bref, son nom a suffi pour que j'aille voir The Big Wedding, sorti en salles ce Mercredi. Alors, c'est sûr, il ne faut absolument pas s'attendre à un chef d'oeuvre, mais à une bonne dose d'humour (car on rigole, pendant 1h30 !) et, à la limite, à un bon jeu d'acteur. Car si Diane Keaton ne m'a pas vraiment convaincu, j'ai surtout aimé Katherine Heigl (of course), Topher Grace, Patricia Rae (qui joue la mère biologique d'Alejandro), Amanda Seyfrield, Ben Barnes et Robin Williams dans leurs rôles respectifs. Le reste du casting n'est pas mauvais, loin de là, mais ils m'ont moins marqué, on va dire. Enfin, le scénario parvient à nous balader de temps à autre, notamment vers la fin du film. A voir, si vous aimez comédies à l'eau de rose.

 

*******************************

 

Le 23/05/2013

 

Cinéma > Gatsby The Great

Si j'ai ressenti de la déception en regardant Roméo+Juliette et Moulin Rouge!, mais que j'ai bien accroché à Australia (car moins excentrique que ses prédécesseurs), j'ai beaucoup aimé Gatsby Le Magnifique (Gatsby The Great en VO). Déjà, la 3D saute aux yeux : c'est bien fait et on a une agréable impression de profondeur. Un premier bon point, donc. Ensuite, on aurait pu penser que la réalisation serait, encore une fois, trop excessive et "bling-bling", mais au final, elle est oscille doucement et agréablement entre Roméo+Juliette (pour les scènes de fêtes) et Australia (pour l'histoire d'amour). Un autre bon point. Après, la bande originale, que j'avais écouté plusieurs fois avant de voir le film (et que je continue d'écouter d'ailleurs), s'intègre parfaitement bien à l'ambiance que Baz Luhrmann veut véhiculer (les chansons de Fergie et de will.i.am collent bien aux fêtes données par Gatsby, tandis que celle de Lana Del Rey donne tout son sens à la relation qu'entretient ce dernier avec Daisy). Enfin, le réalisateur a su choisir ses acteurs pour interpréter les différents personnages : si Leonardo DiCaprio incarne avec grandeur toutes les facettes possibles qu'un homme peut avoir, et que Carey Mulligan est délicieuse en diva pulpeuse des années 20, Joel Edgerton joue à merveille le rôle du mari salopard, tandis qu'Isla Fisher devient méconnaissable. Ce qu'on pourrait reprocher au film ? Certaines scènes qui tirent en longueur. Sinon, tout est parfait.

 

*******************************

 

Le 21/05/2013

 

Cinéma > Song For Marion

C'est rare qu'un film me touche et me donne envie de pleurer à ce point. La BA vendait le film comme une comédie british et, pourtant, il n'en est rien ! Alors, certes, on rigole de temps à autre (la scène de la danse du robot réussit parfaitement ce coup), mais on est surtout ému ! Song For Marion est, en effet, émouvant grâce à la force du jeu des trois acteurs principaux. D'un côté, Gemma Alterton (qui nous surprendra toujours) et Vanessa Redgrave (qui mériterait un Oscar pour sa performance, même si son rôle est secondaire) incarnent la joie de vivre à merveille. De l'autre, on a Terence Stamp, qui fait de la tristesse et de la mauvaise humeur ses secondes natures. Ajoutez les reprises des standards pop originaires d'outre-Manche (dont les magnifiques True Colours et Lullaby) et l'émotion est garantie (ah bon, je l'ai déjà dit ?). Et puis, même si on peut croire qu'il s'agit de Glee version troisième âge, ce n'est pas du tout le cas. L'histoire a beau être banale, elle parvient à nous toucher en plein coeur. Parce que, honnêtement, ça fait du bien de voir des films de ce genre, simples mais vraies.

 

*******************************

 

Le 19/05/2013

 

Cinéma > Mama

Dans le genre épouvante, Mama s'en sort plutôt bien. La tension nous guette tout le long et, même si on sait que, à tel moment, on va avoir peur, on sursaute. Après, Mama fait partie de ces films d'épouvante bien gentillets, qui sont juste là pour être vus entre potes et faire donc passer le temps. Si les acteurs jouent vraiment bien (j'y reviendrai tout à l'heure), le scénario aurait peut-être eu plus de mérite à être travaillé. En effet, ce genre d'histoire est vue et revue, alors pour l'originalité, on repassera. En effet, on ne sait pas pourquoi la mère des deux fillettes est mystérieusement morte au début (c'est juste un prétexte pour faire apparaître le personnage de Mama). Pour la fin aussi, j'ai été à priori déçu, puis je me suis rappelé que tous les films espagnols du genre (le réalisateur est espagnol et c'est produit par Guillermo del Toro, donc...) avaient toujours eu une fin poétique et tout en douceur. Pour en revenir aux acteurs, si Jessica Chastain est bien entrée dans la peau de cette femme peu maternelle en apparence, et qui finit par l'être en fin de compte, la palme revient surtout aux deux fillettes, surtout la plus jeune (Isabelle Nelisse). Ces deux-là nous mettent clairement mal à l'aise, du début à la fin. Bref, j'ai bien aimé.

 

*******************************

 

Le 18/05/2013

 

Cinéma > Trance

Normalement, il me serait difficile de dire si j'ai aimé ou pas, dans la mesure où je n'ai pas tout compris à l'intrigue. Bon, je vous rassure, j'ai compris la fin, même si j'avoue que j'ai trouvé ça tiré par les cheveux. En attendant, j'ai beaucoup aimé le début (l'action qui se déroule, en même temps que le personnage principale qui raconte l'histoire) et moins la suite. Pourquoi ? Disons que je me suis souvent perdu entre les scènes "réelles" et les scènes sous hypnose (elles sont souvent "mélangées, ce qui fait qu'il faut s'accrocher pour suivre... et pour comprendre, surtout). Mais voilà, j'ai très envie de le revoir pour essayer de tout comprendre, cette fois. A part ça, le casting est vraiment génial, et je vous conseille d'ailleurs de voir le film en VO, afin de profiter de l'accent british de James McAvoy. Ce dernier est d'ailleurs excellent dans son jeu d'acteur, tout comme Vincent Cassel (qui choisit décidément bien ses rôles) et Rosario Dawson (qui joue l'ambigüité à merveille). Sans oublier que Danny Boyle nous livre ici une film originale et vraiment différent de ce qui se fait actuellement. Rien à voir, donc, avec le très hollywoodien Slumdog Millionaire et le navet 127 Heures.

 

*******************************

 

Le 11/05/2013

 

Séries > T.V. > Homeland (Saison 1)

Après ces (très) nombreuses critiques ciné, l'heure est venue de faire la "pause série" ! Cet après-midi, cap sur Homeland, dont la première saison a été diffusée sur Canal+ fin 2012.

L'histoire, c'est quoi ? Nicholas Brody est retrouvé en Irak, après huit ans de captivité. Accueilli en héros par la foule et la presse, il fait néanmoins l'objet de suspicions de la part de Carrie Mathison, une agent du CIA persuadée qu'il s'agit d'un dangereux terroriste...

Beaucoup de critiques élogieuses, des récompenses par milliers... En bon amateur de séries que je suis, j'étais curieux de voir ce que ça donnait. Autant vous dire, j'ai immédiatement accroché à l'ensemble ! Après, Homeland est encore loin d'être THE série du moment, mais elle se laisse suivre avec beaucoup d'intérêt. Et comme tous ces shows télévisées qui attirent l'oeil, elle rend accro au fil des épisodes. Malgré tout, pourquoi je ne suis pas vraiment de l'avis de tout le monde ? Disons que, s'il y a de l'action à chaque épisode, il y a aussi pas mal de temps morts (la plupart sont nécessaires je dirais, notamment pour développer la psychologie des personnages) et c'est vrai qu'on peut regarder sa montre, par moment. Après, c'est peut-être l'effet "saison 1" qui fait ça. En attendant, même si on devine un peu l'issue de ces douze premiers épisodes, la série parvient néanmoins à nous surprendre à chaque nouvelle révélation, jusqu'à nous faire poser des questions. Et d'ailleurs, on n'a pas encore eu toutes les réponses qu'on attendait, mais elles viendront sûrement plus tard.

Concernant les personnages, ils sont bien aidés par des acteurs du haut de leur forme. A commencer par les deux principaux, Claire Danes et Damian Lewis. La première joue vraiment bien son rôle de femme bipolaire (surtout dans les épisodes 11 et 12), accro à son job et déterminée à aller au bout de son idée (au point d'en perdre la raison). Le second n'est pas dépeint comme un méchant ordinaire. Il n'est ni bon, ni mauvais, à vrai dire. Leurs deux rôles sont bien travaillés et bien écrits : on apprend à les connaître à chaque nouveau épisode et, si on arrive à cerner Carrie, on a plus de mal avec Brody (aussi parce que c'est voulu). A l'opposé, dans les pires rôles, je demande la fille de Brody.

La première saison est donc une très bonne entrée en matière. Après, je pense qu'elle sert plus à introduire son univers qu'autre chose, d'où les temps morts. Mais gageons que la saison 2 saura remédier à ça !

 

*******************************

 

Le 10/05/2013

 

Cinéma > Pitch Perfect

Le film est sorti en Octobre 2012 aux Etats-Unis et sort chez nous seulement maintenant... Ne cherchez pas à comprendre ! En attendant, The Hit Girls (Pitch Perfect en VO) est une excellente comédie musicale, avec des prestations hautes en couleur, à la hauteur de celles de la saga Sexy Dance. En près de deux heures, on a droit des reprises de tous les genres : Madonna, Kelly Clarkson, Bruno Mars, Simple Minds, Jessie J, Ne-Yo, Rihanna ou encore Miley Cyrus. Que des titres sur lesquels on a envie de se lever de son fauteuil pour danser ou, au moins, bouger des pieds. Les actrices (et acteurs) sont excellents, surtout Rebel Wilson en Amy la baleine (qui m'a vraiment fait rire, lors de sa première apparition) et Anna Camp pour les deux fameuses scènes de dégueuli marquantes (et aussi pour le côté très énervant de son personnage). Tandis qu'Anna Kendrick et Skylar Astin forment un joli couple. L'humour est également omniprésent et j'ai d'ailleurs pouffé de rire à plusieurs reprises. Seul bémol (majeur ?) : le scénario, vu et revu (mais bon, on s'y attendait en même temps). Si vous aimez les comédies musicales, foncez !

En bonus : La très bonne reprise de Since U Been Gone en écoute.

A noter : Une suite est prévue pour 2015. Une bonne nouvelle, donc !

 

*******************************

 

Le 09/05/2013

 

Cinéma > The Company You Keep

D'habitude, j'adore les films où il faut résoudre une énigme en même temps que le ou les héros. Mais là, je vous avoue avoir regardé Sous Surveillance plus passivement qu'autre chose. Pourtant, le casting est franchement loin d'être dégueulasse : Robert Redford (devant et derrière la caméra), Shia LaBeouf (qui continue sa reconversion après Transformers), Susan Sarandon (après ses multiples rôles dans Cloud Atlas), Stanley Tucci, Terrence Howard, Richard Jenkins, Anna Kendrick (qui est en train de se construire une belle carrière)... Le scénario est également bien écrit et, en même temps, conventionnel. A part ça, j'ai trouvé la relation qu'entretient le personnage de Redford avec sa fille trop niaiseuse et j'ai même cru qu'il y aurait une histoire d'amour à un moment donné (alors que non, en fait). Vous l'aurez donc compris : j'ai trouvé The Company You Keep passable et juste sympa à regarder.

 

*******************************

 

Le 08/05/2013

 

Cinéma > Upside Down

Un film que j'avais hâte de voir, puisqu'il met en scène deux acteurs que j'aime beaucoup et qui sont, selon moi, beaucoup trop rares au cinéma : Jim Sturgess et Kirsten Dunst. De plus, comme vous le savez déjà sans doute, j'aime beaucoup les histoires d'amour impossibles, donc Upside Down était parfait pour moi. Au final, je suis un peu resté sur ma faim. Je pense que le film aurait vraiment gagné à durer plus longtemps, car 1h40, ça fait court. Surtout que, d'une part, l'action n'est pas vraiment présente et que, d'autre part, ça finit de manière inachevée. Je suis donc parti sur la théorie du premier volet d'une trilogie (si succès il y a, évidemment), vu la manière dont les choses sont présentées. Concernant les deux acteurs, ils sont, comme à leur habitude, très bons : Kirsten Dunst interprète un rôle qui lui colle bien à la peau, tandis que Jim Sturgess prouve que son talent est sans limite et qu'il peut aussi bien jouer à l'enfant innocent qu'au jeune homme fou amoureux. On a également la surprise de retrouver Timothy Spall, alias Peter Petigrew de la saga Harry Potter, dans le casting ! Côté technique, la photographie vaut presque le tout à elle seule et la BO donne à l'ensemble des airs agréables de film d'auteur. Enfin, le concept des deux mondes parallèles est intéressant et très bien exploité. En conclusion, en tant que premier volet d'une trilogie, le film joue bien son rôle d'introducteur. Si on le met tout seul, il s'avère sympathique, mais se doit de gagner en profondeur.

 

Cinéma > Stoker

Stoker est la première expérience anglophone du réalisateur coréen Park Chan-Wook, dont le scénario a été écrit par... Wentworth Miller (le gars sexy de Prison Break qui s'est reconverti, apparemment) ! Au programme : Mia Wasikowska (celle qui jouait comme un pied dans Alice in Wonderland et The Kids Are All Right) et Nicole Kidman dans un thriller psychologique, où les interprétations peuvent être nombreuses. En effet, si à première vue, j'ai trouvé le film intéressant, mais un peu mou dans la réalisation et lent dans le scénario (surtout vers la fin), j'ai réalisé après être sorti de la salle que j'avais adoré Stoker. Non, en fait, j'ai adoré son côté très complexe. Car, malgré le scénario très classique (le père qui meurt subitement et l'oncle louche qui débarque juste après), les questions fusent concernant telle scène, ou alors le rôle que tel personnage joue dans l'histoire ou ce qu'il peut incarner face à tel autre personnage. Le film est également assez dérangeant et malsain, voire même morbide, à certains moments (comme la fameuse scène de la douche). Et moi qui n'ai jamais été convaincu par son jeu d'actrice, j'ai trouvé Mia Wasikowska excellente dans son rôle de fille dérangée, dont le côté sombre ressort progressivement, qui se découvre en tant que femme. Face à elle, Nicole Kidman est divinement délicieuse en femme "fatale" et Matthew Goode incarne la perversité et la folie mentale avec une belle aisance. Stoker, un film à voir avant tout pour les messages qu'il délivre.

En bonus : Alden Ehrenreich (Sublimes Créatures) s'est invité à la fête, dans un rôle secondaire marquant.

 

Cinéma > Mud

Vu par curiosité et j'ai bien aimé, même si j'ai mis du temps à rentrer dedans. Selon moi, le film démarre vraiment lorsque les bad guys font leur apparition et que les jeunes héros (Tye Sheridan et Jacob Lofland) rencontrent la petite amie (Reese Witherspoon) de Mud (Matthew McConaughey). La première partie sert surtout à introduire l'histoire, les personnages et les thèmes abordés. D'ailleurs, en parlant de thèmes, j'ai vraiment eu l'impression que le réalisateur avait quelques comptes à régler avec les femmes, vu la manière dont il les fait passer ici. Bref, pour en revenir au film, il développe très bien la psychologie de ses personnages, des principaux aux secondaires. Différents genres se cotoient : drame, action, suspense, humour (grâce au jeune Jacob Lofland) et même romance (avec la courte amourette du jeune Ellis). Le film est très bien joué (mentions spéciales à Matthew McConaughey et à Tye Sheridan). Enfin, les angliscistes reconnaitront que la plupart des comédiens ont un pur accent anglais américain du sud. Mud est donc à voir absolument en VO.

 

*******************************

 

Le 04/05/2013

 

Littérature > Kami Garcia/Margaret Stohl, Beautiful Darkness

Je viens de terminer le deuxième livre de la Saga des Lunes, et je vous avoue avoir eu du mal (et du temps) à rentrer dans l'histoire, contrairement au premier. Déjà, j'ai trouvé la ressemblance avec Twilight vraiment flagrante (avec le volet Tentation, pour être plus exact, mais je n'en dis pas plus). Ensuite, si 17 Lunes reprend pile exactement là où le précédent s'était arrêté, qu'on a droit à un bond dans le temps et que le récit s'étale sur une période de quelques jours seulement, l'action met beaucoup de temps à s'installer. Tandis que l'héroïne (Lena) devient insupportable (à la fin, ça s'arrange, cependant). J'ai même abandonné ma lecture pendant un moment, c'est vous dire. Mais passées les 400 pages, les péripéties s'enchaînent enfin, et ce, à grande vitesse (plus que dans Beautiful Creatures, en tout cas). Après, c'est vrai que j'avais moins la "pression" de finir vite le livre, dans le mesure où il n'y a pas eu (encore ?) d'adaptation sur grand écran. Donc, du coup, j'ai pris mon temps pour le lire. Et après l'avoir refermé, je n'ai maintenant qu'une seule envie : connaître la suite !

 

*******************************

 

Le 01/05/2013

 

Cinéma > Jurassic Park 3D

Au moins, on peut remercier la 3D pour une chose : nous permettre de revoir les grands classiques sur grand écran (Star Wars, Le Roi Lion, Titanic...). Et maintenant, Jurassic Park ! Bien évidemment, la 3D ne sert franchement à rien, c'est à peine si ça se voit à l'écran. Quant au film, bizarrement, si j'en avais gardé un très bon souvenir, lorsque je l'avais vu étant enfant, j'ai été un peu déçu. En fait, il me semblait qu'il y avait plus d'action (c'est comme ça que je m'en souviens, en tout cas). Et j'avoue aussi qu'il y avait un tas de scènes dont je ne me souvenais absolument pas. Par contre, je me souvenais très bien de la scène de la chèvre (qui arrive encore à me faire frissonner), de celle dans le musée/restaurant, ou encore du personnage de Sam Neill détestant les gosses (avant de s'y attacher finalement). Tous ces détails m'ont fait apprécier le film, encore une fois. Mais comme je le disais plus haut, j'en avais gardé un meilleur souvenir et si, à l'époque, je ne m'en étais pas rendu compte, j'ai trouvé le scénario très cousu de fil blanc. Néanmoins, un bon point à retenir : Jurassic Park a beau daté de vingt ans (déjà !), il n'a pas du tout mal vieilli en ce qui concerne les effets spéciaux. Si le doublage et la qualité de l'image ne criaient pas "années 90", on jurerait qu'il aurait été réalisé en 2012 (pour une sortie en 2013). Bref, ça fait plaisir d'avoir revu ce classique du blockbuster au cinéma !