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Le 30/04/2015

 

Je termine ce mois d'Avril 2015 en faisant la promotion de mon compte Pinterest, que je viens juste d'ouvrir ! Comme la page Facebook "Escape To Cinéma", il sera relié au site ETC. La différence est que, cette fois, il ne se limitera pas qu'au septième art, mais sera également dédié à la musique et, si les idées fusent, à d'autres choses (jeux-vidéos, séries T.V., livres). Je ferai en sorte d'alimenter le plus possible ce réseau social, afin de continuer à partager mes passions avec vous. Cliquez ici ou sur l'image, pour accéder au Pinterest "Escape To Culture".

 

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Le 29/04/2015

 

Cinéma > Laggies (avant-première)

Je crois que c’est le premier vrai mauvais film de l’année 2015 que j’ai pu voir, jusque-là. Non seulement l’ensemble ne m’a pas plu, d’un point de vue cinématographique, mais je ne suis pas du tout d’accord avec le message que la réalisatrice a voulu faire passer. Deux seuls points positifs : Keira Knightley, qui change encore de registre et est, de ce fait, très convaincante dans ce rôle de femme paumée et quelque peu immature ; Chloë Grace Moretz, qui parvient à s’adapter à chaque genre avec une jolie aisance. Les autres acteurs n’ont pas de jeu. Pire : leurs personnages sont tous de véritables têtes à claques (surtout les amies de l’héroïne, tant elles sont pédantes dans leurs existences rangées, qui sont, je cite, "plus intéressantes que leurs vies d’avant"). Et puis, en ce qui concerne le reste, il n’y a AUCUNE surprise ! Ok, j’avoue que je m’attendais à un petit feel good movie sympathique et sans prétention, avec un scénario convenu, mais suffisamment accrocheur… Rien de tout cela ! L’histoire est inintéressante et les meilleurs moments sont dans la bande-annonce, en gros. Et puis, comme je le disais plus haut, la morale finale ne m’a du tout plu. En gros, si à presque 30 ans, vous n’êtes pas marié et ne savez pas du tout où vous en êtes dans votre vie en général, vous n’êtes rien. D’accord, c’est vrai que l’héroïne est restée gamine dans sa tête et que, au début du film, elle ne se prend pas vraiment en main. Mais voir son entourage (hormis son père et, à la limite, son copain) la prendre de haut, à cause de ça, m’a exaspéré au plus haut point. J’étais cependant bien content qu’à la fin, elle réalise qu’elle et sa bande d’amies du lycée n’ont plus grand chose en commun, et qu’elle a donc besoin de couper les ponts avec eux pour pouvoir avancer dans sa vie. Or, voilà, je me suis ennuyé du début à la fin, malgré la présence des deux actrices principales. A voir un Dimanche après-midi pluvieux… ou pas !

 

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Le 27/04/2015

 

Musique > Singles > Mariah Carey, Infinity

Mariah Carey fait (déjà) son retour, avec le titre inédit Infinity, support promo pour la réédition de sa compilation à succès #1's et pour sa future résidence à Las Vegas. Mais, surtout, cette chanson marque son retour chez son ancienne maison de disques Sony, qu'on était nombreux à attendre depuis des années. Et la question qu'on se pose est : est-ce que ce Infinity pemettra à MC d'avoir son 19ème numéro un, son premier depuis 2008 ? Je vous le dis cash : non. C'est une chanson gentillette pour du Carey, à l'image de You're Mine... Et c'est problématique, en quelque sorte. Dans le sens où ce single sonne un peu trop 90's, ou daté, pour le dire plus clairement. Pourtant, je n'avais pas ressenti ça à ma première écoute du titre, ce matin. J'avais même immédiatement trouvé ça frais et moderne, un bon son careyen, en somme. Mais là, plus je l'écoute, plus je trouve que la chanson est musicalement dépassée. Malgré tout, je ressens un certain potentiel (vraiment minime, cela dit), et puis, il s'agit d'un simple inédit pour un best-of (ça aurait été le lead de son nouvel album, ça aurait été davantage problématique). A voir si Infinity est un grower, à l'image de... You're Mine !

ECOUTEZ ICI !

 

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Le 26/04/2015

 

Cinéma > Caprice

On retrouve Virginie Efira, deux ans après la surprise 20 Ans d’Ecart. Et avec le recul, je réalise que cette actrice m’avait bien manqué, tant je la trouve fraîche et "hors-norme". Et dans Caprice, elle s’éloigne des personnages qu’elle a pu incarner jusque-là, en usant de retenue, de sérieux et d’élégance dans son jeu. A l’image du film qui la met en scène, c’est-à-dire : pétillant, drôle et léger. On se régale ainsi pendant 1h40 des "mésaventures" de Clément (attachant Emmanuel Mouret), antihéros maladroit qui fait beaucoup trop de concessions, pour faire plaisir à celles qui l’entourent. Autour de lui, virevoltent Virginie, Laurent Stocker et Anaïs Demoustier, qui donnent à ce Caprice de jolis airs. Si les personnages des deux premiers m’ont paru très sympathiques jusqu’au bout, celui d’Anaïs m’a énormément agacé, tant il fait dans la surenchère. Je sais que c’était fait exprès, mais je n’arrivais pas à le supporter. Ce qui ne veut pas dire qu’elle joue mal, bien au contraire ! D’ailleurs, c’est tout le casting que je félicite, à ce propos. Il faut dire aussi que la mise en scène d’Emmanuel Mouret les a aidés à bien se mettre en avant. Sans oublier le scénario qui, bien que convenu, réussit à jouer avec les codes du genre, pendant que la caméra du réalisateur se permet quelques écarts fantaisistes avec la lumière et les couleurs. Je regrette juste le manque d’évolution des protagonistes : ils sont constants du début à la fin, et j’aurais aimé une prise de risque, de ce côté-là. Donc, pour les spectateurs qui hésiteraient entre le dernier Marvel et cette pépite frenchy, votre choix devrait être rapidement fait !

 

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Le 23/04/2015

 

Jeux vidéos > Mario Kart 8 (MAJs)

Je viens de tester à l'instant les nouveautés de Mario Kart 8, à savoir : le mode 200cc, les nouveaux personnages et les nouveaux circuits. Ma première impression est très bonne, pour le moment, mais j'ai besoin de la confirmer. Une critique sur le site devrait d'ailleurs arriver, d'ici les prochains jours/prochaines semaines... Restez connectés ! ;)

 

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Le 19/04/2015

 

Cinéma > The Boy Next Door (avant-première)

On n’avait plus vu Jennifer Lopez sur grand écran depuis la comédie Ce Qui Vous Attend Si Vous Attendez Un Enfant, sortie en 2012. Et, surtout, on ne l’avait plus vue jouer dans un thriller depuis… Plus Jamais en 2002 ! Autant vous dire que j’avais plus que hâte de voir The Boy Next Door, son dernier film ! Qui s’est avéré être finalement une semi-déception… Non pas que je m’attendais à un chef d’œuvre, mais j’en attendais mieux qu’un simple téléfilm du Samedi soir. Disons qu’il permet de revoir J-Lo à l’œuvre et d’admirer ses formes. Sérieusement, on la voit souvent en petite tenue devant la caméra de Rob Cohen (voire complètement nue), pour le plaisir de nos yeux, d’ailleurs. Et lors de la scène de sexe, je me disais que Ryan Guzman avait eu BEAUCOUP de chance d’approcher de TRÈS près Lopez (si vous voyez ce que je veux dire). Passé ça, il faut dire que J-Lo n’est pas DU TOUT crédible en femme victime et esseulée. Comme le reste du casting d’ailleurs. Surtout Kristin Chenoweth, qui joue comme un pied, et John Corbett, qui est affreusement fade (et on parle du gars qui fit chavirer le cœur de Sarah Jessica Parker, il y a des années de cela !). Il y a peut-être Ryan Guzman, qui arrive à nous faire peur, par moments, mais ce n’est pas tout à fait ça… Quant au scénario, c’est trop convenu. Encore une fois, je ne m’attendais à ce que ce film renouvelle le genre, mais au moins à ce que le tout soit dynamique. Au final, tout va trop vite et, surtout, ce n’est pas assez fouillé. Un Voisin Trop Parfait est néanmoins sauvé par quelques scènes qui suscitent notre intérêt. Mais ça s’arrêtera là, pour ma part. Une série B à ranger à côté de The Roommate, avec Leighton Meester (qui était beaucoup plus efficace, cela dit).

 

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Le 13/04/2015

 

Cinéma > Whiplash

Je pensais avoir à faire à un film banal, qui ne se distinguait pas de ses comparses… Mais le fil de l’histoire s’est déroulé, et je me suis retrouvé comme happé et angoissé par Whiplash. Dans le sens où l’impitoyable Fletcher, incarné d’une belle main de fer par J.K. Simmons, nous hypnotise, nous effraie et nous fait le haïr de tout notre être. Avant qu’on lui trouve soudainement un côté humain insoupçonné, tout en sachant pourquoi il est ce qu’il est. Face à lui, on ne trouve pas vraiment d’âme, au départ, au jeune Neyman, joué avec innocence et violence par Miles Teller, mais on finira par s’attacher à lui, tant il nous ressemble par ses névroses les plus profondes. Chacun tient là le rôle de sa vie : Simmons mérite ces récompenses qui l’ont distingué ces derniers mois, tandis que Teller n’en est plus très loin. A eux deux, ils font Whiplash : soit un thriller (musical) élégant, une spirale infernale sans fin où on se sent emportés, attendant anxieusement de savoir qui remportera cet intense bras de fer. On est ainsi captivés tout le long, grâce à une mise en scène intelligente et soignée. Je terminerai cette critique par ce petit "clin d’œil" : en fin de compte, Fletcher aura réussi à trouver son propre Charlie Parker en Andrew Neyman. Un grand merci à Damien Chazelle pour ce grand moment de Cinéma.

 

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Le 06/04/2015

 

Cinéma > Cake (avant-première)

Je n’aime pas particulièrement Jennifer Aniston en tant qu’actrice (elle m’avait bien surpris dans Les Miller, cependant). Mais entendre dire que sa première incursion dans le cinéma d’auteur dramatique est très convaincante m’a donné envie de voir Cake. Sans oublier le fait que l’histoire me semblait être intéressante. Au final, je trouve qu’il s’agit d’un beau film sur le deuil, qui est assez bien scénarisé et mis en scène. Je dis "assez", car je pense qu’il en aurait fallu plus pour me convaincre pleinement. J’ai envie de dire la même chose pour le jeu des acteurs, même si je réalise que la performance d’Aniston m’a bel et bien convaincu. Dans le sens où elle joue bien le rôle de cette femme qui a tout perdu et qui, de ce fait, s’en fout de tout. Ainsi, la moue et la petite voix qu’elle prend volontairement sont justifiées. A ses côtés, on retient Adriana Barraza, avec qui elle forme une relation attachante et complice, et Anna Kendrick, qui nous hypnotise en à peine quelques apparitions. Le "couple" qu’elle forme également avec Sam Worthington est tout aussi alchimique. Cake mérite donc cette réputation qu’il a su se forger au fil du temps, malgré ses défauts qui nous "agacent", mais auxquels on trouve du charme. Une des sorties de ce mois-ci à ne pas rater !

En bonus : Felicity Huffman est de retour !

 

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Le 05/04/2015

 

Cinéma > Tinkerbell and the Legend of the NeverBeast (avant-première)

Disney n’a pas fini de nous gâter, cette année ! Après Les Nouveaux Héros, Into The Woods et Cendrillon, le studio revient avec l’ultime volet des aventures de la fée Clochette. Un épisode à l’image de ses prédécesseurs, c’est-à-dire enfantin, drôle, touchant et attendrissant. Néanmoins, je suis assez partagé sur le fait que Clochette ait un rôle secondaire dans cet opus, au profit de son amie Noa. D’un côté, je me dis que c’est une bonne chose de mettre en avant une autre fée, comme dans les films précédents. De l’autre, je pense qu’il aurait fallu réécrire le scénario, de telle sorte qu’il puisse inclure Clochette au même titre que sa collègue. Malgré cela, cette dernière s’avère être attachante, encore plus lorsqu’elle rencontre Grognon et en fait son nouvel ami. Leur relation se construit ainsi progressivement, ce qui la rend réaliste et touchante. En outre, j’ai davantage fait attention à la bande originale, notamment aux deux dernières chansons, qui résument bien l’esprit de ce sixième épisode (1000 Years, interprété par KT Tunstall et Bleu, m’a particulièrement ému, tant elle retranscrit bien l’état d’esprit des deux héros ET des spectateurs…). Enfin, un petit mot sur le doublage : si Lorie et les autres comédiennes sont très convaincantes dans leurs rôles respectifs, j’ai eu plus de mal avec Alizée. Elle arrive à être convaincante en tant que Nyx, mais par moments, ce n’est pas toujours ça. Cela dit, je n’avais pas du tout reconnu sa voix sur le coup (même si elle me disait quelque chose). En résumé, La Créature Légendaire est un joli film d’animation, qui plaira (surtout) aux petits. Mais c’est dommage de voir que la saga s’achève ainsi : sans qu’elle n’ait une véritable fin, avec l’apparition de Peter Pan, pour faire la transition avec le dessin-animé du même nom. Cependant, je garderai un bon souvenir de ce spin-off.

 

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Le 03/04/2015

 

Musique > Miley Cyrus, Bangerz Tour (DVD/Concert)

L’heure est à la musique, les amis ! Et on commence ce mois d’Avril par ma critique de la dernière tournée de Miley Cyrus, le Bangerz Tour, sorti en DVD et Blu-ray fin Mars. Je débuterai ainsi ma critique en criant mon regret de ne pas être allé la voir à Lyon, en Mai 2014 ! C’est clairement un show (à l’américaine) déjanté, où la chanteuse se lâche et partage ses délires persos avec son public. Ça n’a ainsi rien à voir avec le personnage controversé à qui on a eu à faire ces dernières années : la vulgarité est assez absente de ce concert, malgré quelques allusions sexuelles inévitables (genre le tableau sur #getitright). Et encore, j’ai trouvé que c’était "gentil" par rapport à d’autres concerts (le Onyx Hotel Tour de Britney Spears, pour ne citer que lui). Donc finalement, les nombreux scandales cités par la presse n’étaient que du racolage, à mes yeux. Pour en revenir au Bangerz Tour, comme je le disais plus haut, il s’agit d’un très bon concert, où la mise en scène est soignée et recherchée pour la plupart des titres (même si on sent qu’il y a moins de "gros" moyens que sur d’autres tournées). Même les titres les plus mélancoliques (Maybe You’re Right, FU) sont "détournés" par leur interprète. Miley réussit également à me faire apprécier des chansons de son dernier album, que je n’aimais pas particulièrement au départ (Drive, Someone Else, Maybe You’re Right). Les reprises sont sympathiques (en particulier Jolene, qui prouve que la country lui sied à merveille). Enfin, il y a les incontournables (We Can’t Stop, Can’t Be Tamed, Party in the U.S.A., Wrecking Ball), où elle met le feu jusqu’au bout ! En revanche, je pousse un coup de gueule par rapport au Blu-ray : le son est dégueulasse, le montage l’est tout autant (le son est coupé à chaque fin de chanson ; le concert est charcuté par un "making-of", qui aurait très bien pu avoir sa place en tant que bonus). En tout cas, je pense que la prochaine tournée ne se fera pas sans moi !