Avec The Dark Knight Rises, Christopher Nolan conclue bien la trilogie Batman, entamée en 2005. Pourquoi bien, seulement ? Disons que j’avais tellement aimé The Dark Knight que je m’attendais à une suite du même acabit. Cela dit, le film reste bon dans l’ensemble, malgré certains points négatifs.
Parce que j’adore Madonna, particulièrement en ce moment, je n’ai pas pu résister à l’envie de rédiger un avis sur son concert événement à l’Olympia (qui a eu lieu le 26 juillet 2012 dernier). J’avais déjà vu le concert une première fois, grâce à la retransmission live sur YouTube (et encore, quand ça ne voulait pas boguer). Et, après avoir lu les très nombreux articles descendant en flamme la chanteuse, j’ai décidé de regarder de nouveau son show-case.
Le début du film me fait penser à La Belle et la Bête, avec la chanson d’ouverture. D’ailleurs, des chansons, il y en a pas mal dans Le Lorax. Ce qui rend le tout très enfantin : les gags, le scénario et la mise en scène.
Le synopsis était alléchant – une jeune femme prisonnière entre la vie et la mort, dont le destin repose entre les mains d’un croquemort –, le casting également. Alors, c’est vrai que l’histoire d’After.Life est, en somme toute, originale, mais je m’attendais à quelque chose qui lorgne davantage vers le fantastique.
J’attendais ce reboot avec une impatience immense, aimant beaucoup le super-héros qu’est Spider-Man. J’avais également hâte de voir comment Andrew Garfield (acteur que j’adore) allait se débrouiller dans le rôle de Peter Parker. Eh bien, je peux vous dire qu’il ringardise complètement Tobey Maguire !
Trespass a été un énorme flop aux États-Unis, donc je m’attendais logiquement à un navet en allant le voir. Or la bande-annonce m’a plutôt convaincu, de même que le film en lui-même. Même s’il faut attendre la première demi-heure pour que le film démarre vraiment.
Mon dernier film des studios Ghibli remonte à 2008, avec Ponyo sur la Falaise. J’avais été déçu par ce dernier, alors la sortie au cinéma de La Colline aux Coquelicots en janvier dernier m’a laissé indifférent. Eh bien, j’ai eu tort !
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Après la semi-déception Minuit à Paris, Woody Allen continue son tour d’Europe et se pose, cette fois-ci, en Italie avec To Rome With Love.
Les deux raisons pour lesquelles je voulais voir ce film sont : le casting trois étoiles et le fait que ce soit un film choral.
Après avoir été agréablement surpris par Hereafter (alors que beaucoup criaient à la déception), j’ai bien été emballé par ce nouveau film de Clint Eastwood. J’avais néanmoins peur de me perdre dans l’intrigue, une amie m’ayant dit qu’il fallait bien connaître l’histoire des États-Unis. Et c’est vrai que, à certains moments, il a fallu que je m’accroche !